Catégories : Rencontres ABDL-infantilisme-diaper lover Diaper couple, plusieurs, lesbiennes
il y a 4 ans
Les confidences érotiques d’un homme qui a rencontré une femme à qui il a fait découvrir les couches.
Le soleil était éclatant ce jour-là, et je me trouvais bien seul au milieu de toutes ces affaires étalées autour de moi, avec ces passants me dévisageant d’un œil scrutateur et prompts à une estimation baissière des vestiges de mon passé.
Tout découlait de mon divorce, prononcé il y a trois mois.
Les couches n’étant pas indifférentes à cette séparation. Mon ex avait accepté cette pratique au début, puis toléré, et enfin trouvé envahissante, qu’elle jugeait au fond d’elle comme déviante.
J’avais donc fait le tri dans mes affaires. Et quand on se lance dans cette démarche, on fait le rangement en se débarrassant du futile et de souvenirs envahissants. Je profitai donc du printemps pour m’inscrire à une brocante de quartier.
Ce matin, levé aux aurores, j’avais pris possession de mon petit espace. Une fois installé, je pus enfin me poser. Un petit siège de camping rendu confortable par la Tena plastifiée que j’avais mis une heure auparavant. Je ne pouvais faire sans ce petit plaisir, tant cette journée menaçait d’être solitaire, longue et ennuyeuse.
Je dévissai le thermos de café que je m’étais préparé et m’en servis un petit pour me décontracter. Cette relaxation me conduisit à lâcher les vannes pour humidifier ma douce et intime protection. À ce moment-là je vis arriver un amas de sacs, de cartons. Tout cela reposait sur un équilibre repoussant les lois de la physique, dont la clé de voûte était un diable de déménageur, et au milieu de cette confusion émergeait une femme écrasée par ce volume de fatras.
Dans un grand souffle libératoire, elle laissa tout tomber au sol en lâchant un grand :
— Ouf, enfin arrivée !
— Oui, bienvenue, lui dis-je, compatissant et un peu honteux du confort de ma situation.
— Je vous offre un café avant de commencer ?
— Franchement, ce n’est pas de refus ! me répondit-elle avec un grand sourire tout en s’étirant le dos pour soulager ses lombaires fortement sollicitées.
Je lui tendis un gobelet et nous partageâmes cette boisson que tout matinal sait apprécier comme un réconfort salvateur.
Elle était habillée confort, comme toujours pour ce genre d’exercice où la tenue vestimentaire se doit d’être avant tout fonctionnelle. Pour autant, ses mains étaient soignées. Et surtout elle avait de charmants yeux verts, avec des cheveux châtain-roux du plus bel effet dans cette lumière montante resplendissante. Son visage reflétait une personnalité que le reste de la journée me confirma comme ouverte, sociable, et en même temps discrète.
Une fois cette civilité accomplie, elle dut se remettre à l’ouvrage car les «clients » commençaient à arriver. Mes guillemets seront compris par toute personne ayant fait l’expérience de ces échanges commerciaux où les promeneurs du dimanche se révèlent, quand ils daignent vous adresser la parole, de redoutables prédateurs pour négocier vos effets déjà bien sous-estimés au regard de leur valeur réelle. Mais votre volonté en cet instant est de repartir le plus léger possible ; et ça, le passant le sait. Redoutable, le bougre !
Je retournai à mes pourparlers, laissant ma voisine à ses déballages.
La matinée passa assez vite, et la ville entière maintenant déferlait dans les ruelles surchargées.
Mon regard de DL (diapers lover) ne pouvait s’empêcher de traîner au niveau des fessiers de ces dames pour entrevoir une couche plus ou moins bien dissimulée. Cet exercice se révéla souvent positif mais, pour être honnête, cela était dû à une classe d’âge assez avancée. Mes divagations furent troublées par ma voisine, mais en restant en un sens sur le même sujet :
— Je peux vous demander un service ?
— Oui (car qui en cet instant dirait non ?)
— Vous pourriez surveiller mes affaires pendant que je vais au petit coin ?
L’expression me fit sourire.
— Oui, bien entendu, allez-y ; le premier qui approche, je le plaque au sol ! dis-je d’un ton assuré.
Elle me sourit franchement et se dirigea vers ces charmantes cabanes de chantier en plastique dont la déco et l’hygiène sont de notoriété publique. Porter ma couche avait l’avantage de ne pas être confronté à ces lieux d’aisance qui portent si mal leur nom.
Affairé que je suis avec deux perfides négociatrices, je la vois rejoindre son stand peu de temps après. Je me retourne, et elle me montre d’un œil complice le petit sac de viennoiseries qu’elle a ramené. Un second café semble s’imposer, et il est temps de tirer le rideau du magasin pendant un moment pour se faire une petite pause. Je prends mon thermos et mon siège, et nous partageons ce second café.
— Au fait, je m’appelle Sophie ; et vous ?
— Xavier. Les affaires se passent comme vous voulez ?
— Moyen. Je veux me débarrasser d’un max de choses car j’ai envie de changer de style. Je veux une déco plus cosy chez moi.
— Et vous cherchez quoi ? Vous seriez intéressée par un fauteuil en cuir vachette ? Il est superficiellement abîmé, mais en bon état général.
Ce bon état général ne concernait pas ma couche, que j’inondai une seconde fois en sa présence. À se demander si elle m’inspirait !
— Absolument : c’est exactement ce que je recherche.
— Comme quoi on peut faire des affaires dans un vide-grenier, mais entre vendeurs, lui répondis-je en plaisantant.
Elle rit et me griffonna son numéro de mobile sur un papier pendant qu’elle me demandait le mien qu’elle enregistra directement sur son portable.
— Vous m’envoyez des photos par SMS, et on voit si on fait affaire.
— Parfait, on fait comme ça.
Pendant notre conversation, le temps s’était fait de plus en plus menaçant et une pluie orageuse s’abattit soudainement et v i o l emment sur nos têtes. Toute la nébuleuse des exposants se rua sur ses affaires pour ranger le tout au plus vite. Je me baissai pour ramasser mes chaussures étalées et les ranger dans leurs boîtes.
— Je comprends mieux votre endurance à tenir votre stand : ingénieuse, votre idée de porter une protection, je n’y aurai pas pensé.
Je suis douché encore plus, je me sens rougir. En me retournant brièvement, je vis Sophie plier ses affaires avec un petit sourire en coin. Ce sourire était énigmatique. Tout vacillait autour de moi, et il me fallait sauver l’essentiel : mes affaires en train de baigner dans l’eau comme moi-même je baignais dans ma couche (mais ce dernier point m’était agréable).
Nos allers-retours et la nuée des exposants nous firent nous perdre de vue. Elle s’évanouit, comme je l’avais vu arriver, tel un sherpa escaladant l’Everest.
De retour chez moi, je m’affairai à ranger, sécher, étaler mes affaires…
Une fois la séquence post-apocalyptique passée, je me posai. Sophie me revint en mémoire.
« Son numéro ; qu’ai-je fait de son numéro ? » Je retournai la maison. Rien. Il s’était volatilisé. J’avais dû le faire tomber pendant la cohue. Un signe du destin sans doute. Mais de toute façon, vu la séquence de fin de la brocante, je n’aurais sans doute pas osé la recontacter et affronter ses questions.
— Allô ! Bonjour, c’est Sophie ; de la brocante de la semaine dernière.
Quelle ne fut pas ma surprise d’entendre sa voix. Elle avait gardé mon numéro sur son mobile.
— Oui, bonjour. Vous allez-bien ? dis-je avec cette réponse passe-partout me permettant de me poser un peu et de reprendre mes esprits.
— Oui, merci. Je vous recontacte car vous avez oublié de m’envoyer les photos du fauteuil.
— Effectivement, je suis désolé, mais en remballant tout, votre numéro a dû tomber de ma poche et je ne l’ai pas retrouvé.
— Oui, je me souviens très bien de la fin de la brocante, mouvementée et surprenante.
Cette réponse faisait-elle allusion à ma couche qu’elle avait aperçue ? Je n’ai pas voulu engager la conversation sur ce sujet, et pour couper court je relançai :
— Je vous envoie les photos de suite, et vous me dites si cela vous convient.
— On fait comme cela. À très vite alors.
Je pris trois clichés et les lui adressai par MMS. Elle me répondit dans la foulée être très intéressée. On convint alors d’un rendez-vous pour le samedi suivant.
Mon interphone sonne : c’est elle. Je sors et lui ouvre le portail pour qu’elle rentre sa voiture. Une fois le portail refermé, je me retourne ; je vois une charmante jeune femme élancée sortir de sa voiture. Bien plus classe que lors de la brocante. Chemisier blanc faisant ressortir une poitrine élancée sans être imposante. De belles et fines jambes dans un pantalon slim, et des bottes de cavalière. Une longue chevelure retenue par ses lunettes de soleil. Lumineuse créature.
Je m’avance vers elle et lui tend la main ; elle me saisit par les épaules et me fait une bise appuyée sur chaque joue.
— Il fait bien meilleur que la dernière fois !
— Oui, sans conteste. On va voir l’objet de votre visite ?
— Oui, volontiers ; je vous suis.
J’avais pris la précaution de ne pas mettre de couche cette fois-ci. Était-ce son intention en m’invitant à la précéder que de vérifier l’état de mon postérieur ? En tout cas, sur le moment je me dis que cette fois-ci je garderais ma dignité.
Arrivés dans le salon, elle s’écrie :
— Génial, exactement ce que je cherchais !
Elle se love en y prenant place et mettant ses jambes sur les accoudoirs. Elle me regarde en me disant :
— Il me plaît ; doux et confortable : je prends.
Elle ouvre son sac à main et pose l’enveloppe avec le montant convenu sur la table basse.
— Parfait ; je vais chercher mon diable et on le met dans votre coffre.
On a un peu de mal à trouver le bon angle pour le charger, mais on trouve la solution.
Tous deux un peu essoufflés, je lui propose un verre pour se rafraîchir. On se met sur la terrasse et je reviens avec deux jus d’orange. Elle boit son verre d’un trait.
— Assoiffée ?
— Oui, j’ai fait pas mal de route et je ne voulais pas être gênée par une envie pressante.
Avant que je ne puisse même rebondir sur son propos, elle enchaîne :
— À ce sujet, je voulais vous demander : pour les couches, il n’y a pas de fuites quand vous en portez en journée ?
Tétanisé par sa question, mon esprit se fige. Elle relance en ne laissant pas à mon trouble le temps de s’installer :
— Oui, je vous explique : je dois passer un examen professionnel déterminant pour la suite de ma carrière, et je voudrais être à l’aise durant cette épreuve et optimiser mon temps sans être obligée de m’absenter.
Ne pouvant me taire davantage, je lui explique alors mon expérience des couches sous l’angle délibérément utilitaire :
— Vous savez, le secret est de bien les attacher pour ne faire qu’un avec les jambes, pour qu’aucun mouvement ne laisse d’espace. Pour les fuites, il faudrait ne pas trop boire avant, mais avoir une bouteille pour se désaltérer pendant l’épreuve. Puis, faire pipi par petits jets pour bien répartir celui-ci sur l’ensemble de la couche. Et si besoin, celle-ci devra bien sûr être enlevée.
Elle boit mes propos, si je puis dire. Je me sens en confiance avec elle. Ce mélange de naturel audacieux et de qualité d’écoute me met à l’aise, à tel point que je me surprends moi-même à dire :
— Je peux vous en proposer pour essayer, si vous le voulez.
— Merci, je n’osais pas vous le demander.
Je me lève et me dirige vers ma chambre, où j’ouvre mon placard. Sur le moment, je me sens soulagé qu’elle ne soit pas à mes côtés, face à ma collection de paquets de couches et de culottes. Comment pourrait-elle comprendre ce penchant ? Jamais, bien sûr.
Je reviens donc avec deux changes complets de jour. Elle m’attendait, sagement assise. Je m’assois face à elle et les lui tends.
— Je pense que vous saurez vous en servir ; vous n’avez pas dû oublier… dis-je, un peu troublé par la situation singulière.
— Oui, j’étais l’aînée, et j’ai changé mes deux petits frères. Je vous remercie pour votre gentillesse et vos conseils, me dit-elle, les yeux dans les yeux, à mes côtés, à une proximité que tout un chacun aurait saisie comme une opportunité.
Il n’en est rien ; je ne suis pas encore prêt pour une telle initiative, d’autant que je suis convaincu que sa démarche est de pure praticité.
Elle me donne un gros baiser sur la joue, dont la tendresse est un moment de grâce, puis regarde sa montre.
— Mince, l’heure file ! Je dois y aller.
Elle se lève en rangeant les deux couches dans son sac (où les femmes ont un secret pour y entreposer un nombre si conséquent d’objets).
Je la raccompagne à la porte ; elle s’engouffre dans sa voiture et disparaît rapidement dans la rue.
Le lendemain, je reçus un texto encore une fois intriguant : « Confortable, le fauteuil ; autant que la couche. Merci encore ! »
« De rien. » Mon message était volontairement neutre. Cette femme commençait à me troubler, et je ne savais quoi faire. Par la suite, ce fut le silence absolu. Je revins à ma première pensée : une démarche purement utilitaire, aucun quiproquo à envisager.
Un mois vient de se passer.
Mon téléphone sonne ; son nom apparaît sur l’écran.
— Bonjour, c’est Sophie. Tu vas bien ?
— Bien merci, oui. Euh, et vous, toi ?
— Bien, merci. Je voulais te dire que j’ai réussi mon exam. J’ai une promo, du coup. Je suis super contente !
— Bravo, c’est génial. Je suis vraiment content pour toi.
— Si ça te dit de fêter cela, je t’invite. Demain soir, tu es dispo ?
— Euh, merci, mais c’est pas nécessaire, tu sais…
— Si, si, j’insiste.
— OK, c’est avec plaisir alors.
Au café convenu, je l’aperçois déjà attablée. Je le la rejoins à sa table alors qu’elle me fait de grands signes.
Elle est encore plus épanouie que la dernière fois, souriante et rayonnante. Le succès, sans doute, qui la rend encore plus sexy. À moins que ce soit sa tenue, une veste avec chemisier, une jupe échancrée et de hauts talons. Féminine, comme j’aime. Arrivé à sa hauteur, elle se lève et me serre dans ses bras.
— Comme cela me fait plaisir de te voir ! Désolée pour mon silence, mais je me suis donnée à fond dans mes révisions, et j’ai bien fait.
— Oui, je comprends. Encore une fois, toutes mes félicitations !
— Et je te remercie pour les couches, cela m’a été super utile.
— Vraiment ? Tant mieux !
— Dès que je suis arrivée chez moi, j’en ai mis une. Je me suis fait un thé, et je l’ai mouillée environ une heure après. Passée la gêne, cela m’a fait bizarre. En fait, j’ai bien aimé.
— Arrête, tu te moques de moi ?
— Non, vraiment. Et toi, pourquoi tu ne m’as pas dit aimer en mettre ?
— Comment… comment as-tu deviné ?
— Tu viens de me le confirmer, mais quand je t’en ai parlé chez toi, ta gêne n’était pas celle que j’aurais pu attendre d’un incontinent ; plutôt celle d’un petit garçon pris la main dans le sac. Ou dans la couche, devrais-je dire…
— Euh… je ne sais pas quoi dire.
— Et là non plus ?
À ce moment-là, elle se déplace sur la banquette en face de moi, remonte sa jupe et décroise ses jambes. Je n’en crois pas mes yeux : elle porte une couche, et bien gonflée d’après ce que je vois. Hallucinant ! Je me pince pour savoir si je ne rêve pas.
— Alors, tu aimes ?
— Euh, oui c’est une belle surprise que tu me fais. C’est plutôt charmant comme tenue, je trouve.
— Oui, et ce n’est qu’un apéritif…
— Il va y avoir un plat de résistance ?
— Oui, et peut-être une gâterie, si tu es gentil.
Gloups. J’avale de travers la gorgée que je viens de prendre.
Elle rit, satisfaite de son effet.
— Et toi, tu es en couche ce soir ?
— Non, je ne savais pas que c’était une soirée déguisée, dis-je pour faire celui qui prend un peu de distance.
— Tu ne perds rien pour attendre !
La fin du repas arrive.
— Tu veux venir voir comment j’ai disposé ton fauteuil ? me dit-elle tout en réglant la note.
— Oui, volontiers ! réponds-je, surpris une fois encore par son tempérament.
Elle se lève.
Je m’apprête à la suivre, mais suis stoppé dans mon élan car elle fait tomber ses clés. Pliée en deux avec une souplesse déconcertante, son fessier blanc et rebondi éclate au grand jour (et à moi seul, car elle a bien calculé son angle). Il m’est donné à voir, en cet instant éphémère, combien son change est bien gonflé. Je ne peux qu’être tenté de caresser cette douce enveloppe ; cette couche si bien remplie et chaude est une délicatesse tactile. Elle se redresse doucement tout en tirant sa jupe vers le bas. Sa main rejoint la mienne qu’elle caresse tendrement en accompagnant son éloignement.
— Ingénieuse, cette maladresse : je n’y aurais pas pensé ! dis-je en faisant allusion à la fin de brocante.
— T’es un chou ; je l’ai su dès la première minute. Tu me fais rire, tu sais ? » me dit-elle en tirant mon bras dans son dos.
Ses mains prennent en tenaille mes joues et elle me donne un généreux baiser, que je lui rends.
Quelle diablesse !
Comme si le temps s’était arrêté, je me retrouve chez elle, au milieu du salon. Elle se trouve face à moi, s’écarte un peu, défait le zip de sa jupe qui glisse le long de ses jambes pour finir en boule à ses pieds. Son chemisier dissimule ses hanches, mais par transparence se distingue très bien sa couche. Elle lève un pied, puis l’autre, et fait valser sa robe à l’autre bout de l’appartement.
Je suis des yeux cet OVNI féminin prendre son envol. Mon attention détournée, elle en profite pour me faire tomber par surprise à la renverse sur le fauteuil. Mon fauteuil.
Je suis avachi, et cette bougresse qui se tient debout face à moi fait sensuellement remonter un pied le long de ma jambe pour finir par me le plaquer sur le buste. L’effet de ciseau me fait admirer sous un angle très ouvert son entrejambe et la qualité de remplissage dont sa protection a décidément fait preuve.
Son pied remonte, agace ma joue et f o r c e l’entrée de ma bouche. Je m’exécute, et suce chacun de ses orteils. Elle fait de moi son objet. Le pire, c’est que j’aime ça ! Elle semble vouloir savoir à quel point. Elle laisse donc glisser son pied jusqu’à mon pantalon, où elle trouve un obstacle qui ne demande qu’à s’exprimer librement.
Satisfaite de l’effet produit, elle s’agenouille félinement à mes pieds, défait ma fermeture Éclair et plonge sa tête en saisissant mon gland jaillissant. Je vois Sophie me prendre en bouche ; je tressaillis. Sa bouche est chaude et douce. Sa langue s’enroule parfaitement autour de mon membre. La succion devient progressive. Je ferme les yeux et me laisse aller à une puissante érection.
Je suis définitivement sur une autre planète : cette splendide femme me pratique une fellation gourmande, et son derrière dodeline en faisant bruisser l’enveloppe plastique de sa couche. Ma seule frustration étant de ne pouvoir caresser cette surface blanche et envoûtante. Je vacille ; des flashes de notre rencontre se percutent : cartons, diable, yeux verts, café, fauteuil, coffre, couche… Je ne peux plus me retenir… Aaaahhh ! Elle me regarde, souriante, conquérante. Elle est à mes pieds, mais c’est moi qui suis en son pouvoir.
Sophie se relève et part se servir un verre. Je lui dis en plaisantant :
— Attention, ta couche est saturée, il me semble : ne bois pas trop !
— Tu crois ? T’es juste jaloux de ne pas être langé.
Elle quitte le salon en me disant « Viens ! » Je la suis, et me retrouve dans sa chambre.
— Allonge-toi sur le lit.
À ma grande surprise, plutôt que de me sortir une couche neuve, elle dégrafe la sienne. Un scratch après l’autre. Le dernier défait, elle rattr a p e le lourd change qui ne demande qu’à rejoindre le sol pour le poser à mes côtés.
— Tu voulais savoir si elle était saturée ? Eh bien je vais te laisser en juger.
Quelle audace chez cette femme : elle ose tout, surtout le meilleur !
Elle me tapote les fesses ; j’obtempère. Mon pantalon m’est retiré et laisse ainsi l’espace nécessaire pour glisser sa couche. Je prends alors pleinement place et sens cette large moiteur sur mon postérieur, qui devient chaleur quand elle referme le change sur mon bas-ventre.
— Eh bien, bébé, on fait moins le fier !
Elle me domine une fois encore, debout, face à moi, et semble apprécier cette posture d’ascendance mentale. Elle bombe son buste, et cela met en valeur sa poitrine encore dissimulée sous sa chemise. Je me redresse tout en restant assis et glisse une main aventureuse sous cette soyeuse étole pour effleurer sa peau. Elle me sourit et défait peu à peu ses boutons, puis laisse voluptueusement glisser le tissu. Son soutien-gorge est écarté dans la foulée en laissant ses globes à ma portée, majestueux.
— Tu les trouves beaux, mes seins ?
« Que diantre, magnifiques ! » Je reste muet de sidération, mais mes yeux qui débordent de désir sont en cet instant, je crois, assez expressifs.
— Tiens ! dit-elle en tendant son sein droit et accompagnant le geste d’une main sur ma nuque pour m’aider à me saisir de son téton.
Son aréole est discrète, et en son cœur le mamelon bien tendu. Sa chair de poule au fil de mes caresses buccales trahit le plaisir muet et profond qu’elle ressent. Elle donne suite à cette excitation en me repoussant sur le lit, sans v i o l ence, mais avec la détermination de celle qui sait ce qu’elle veut : me chevaucher.
Elle prend position sur mon ventre et, en se penchant en arrière, caresse sa couche ou, devrais-je dire « ma » couche, maintenant. Ses ongles font crisser l’enveloppe plastifiée et agrippent par pressions successives mon sexe enfermé. Ce bruit est délectable. Les manipulations effectuées avec doigté le sont tout autant. Déjà ma virilité commence à se manifester à nouveau sous ses doigts experts.
Pas suffisamment sans doute à son goût – ou par jeu –, toujours est-il qu’elle suspend ses caresses, s’avance encore et se retrouve au-dessus de ma tête. Elle pose ses cuisses sur mes épaules et, d’une étreinte puissante, me soude à son bassin face à sa toison mordorée. Je suis sur un nuage… d’ouate, que son sexe occupait il y a peu et qui m’est maintenant offert.
Des heures en couches ont manifestement fortement excité cette amazone : il est luisant et bien ouvert.
— Lèche-moi, mon bébé, dit-elle en me regardant profondément et en écartant ses lèvres de ses doigts.
Le message est clair, et je m’exécute sans plus attendre. Son abricot est délicieusement âcre, et cette odeur envahissante m’enivre. Je taquine son bouton doré qui se tend sous ma langue. Délicat, suave, je savoure son miel intime. Je goûte l’enivrante liqueur de son désir qui suinte de sa chatte offerte, retrouvant avec plaisir ce parfum précieux, ce goût unique, ce puissant aphrodisiaque qui, à chaque fois, fouette mon désir, enflamme ma libido, annihile ma volonté.
Je suis doué – en tout cas je m’applique suffisamment – au point de l’entendre gémir doucement mais voluptueusement. Ses mains agrippent ma chevelure d’une poigne autoritaire et m’imposent son rythme. Je suis activé tel un sextoy pour malaxer sa vulve charnue et pulpeuse qui maintenant mouille abondamment. Elle se masturbe langoureusement sur mon visage : mon nez active son clito, mes lèvres les siennes, ma langue se consacrant à sa fente ouverte. Je pousse ma langue plus loin, toujours plus loin, m’abreuvant du précieux nectar, ma D r o g u e , entre les lèvres de son sexe. C’est elle qui mène la danse, et j’ai du mal à respirer. « Tenir, je dois tenir coûte que coûte, que ça dure longtemps, je veux lui plaire, je veux la combler… »
Elle geint de plus en plus fort. Je suis dévoué à son plaisir qu’elle m’enjoint de lui donner. Le mouvement de ses hanches ralentit, puis elle s’écarte de moi d’un mouvement ample et délicat. Elle s’assoit à califourchon entre mes jambes repliées en posant ses mains sur ma jambe gauche, son dos appuyé sur celle de droite. Par de petits mouvements, son sexe lubrifié s’agite sur le mien engoncé. Elle glisse sur ma couche bombée avec une aisance et un contrôle précis de son plaisir.
L’ondulation s’amplifie. J’accompagne ces mouvements de bascule avec mes jambes. Elle respire de plus en fort. Mes muscles me chauffent. Mon corps est dédié à son plaisir. Elle halète. Le rythme s’accélère. Je me retiens, ne voulant pas encore jouir dans ma couche. Elle, par contre, ne se retient pas : elle accentue encore la cadence.
Son extase s’exprime en un cri salvateur tout en faisant pénétrer ses ongles dans la peau de mes cuisses, puis elle s’effondre à mes côtés.
Je profite de cette accalmie pour tâter les dégâts.
Ma couche est un peu écrasée, mais est surtout presque aussi trempée en surface qu’à l’intérieur. Mon sexe est bien gonflé, et je dois le laisser respirer. J’écarte les fronces et il jaillit, turgescent, comprimé qu’il est par l’élastique de la couche.
Je regarde Sophie qui me tourne le dos. Je me rapproche d’elle et commence par l’embrasser dans le cou, sur la nuque, m’enivrant du parfum de ses cheveux. Je mordille ses épaules, frotte mon menton sur ses omoplates. Ma verge douloureuse de désir effleure sa peau douce, puis je la fais glisser entre ses cuisses. Elle se manifeste à l’entrée de sa fente humide.
— Bien excité, mon Xav, dis donc : il est bien dur ton zizi !
Son dos ondule. Elle est loin de vouloir s’arrêter là elle aussi. Je décide alors de m’agenouiller pour saisir ses hanches et la relever. Sa tête calée dans le traversin, sa croupe est proéminente, ses fesses bien relevées. Même pour être prise en levrette, elle est à la manœuvre.
Je glisse mon gland sur la surface de sa vulve, bien serrée par ses cuisses jointes. Petit à petit, il se fraye un chemin dans son interstice.
— Viens. Viens en moi…
Ma queue est dans la seconde en Sophie. La lubrification naturelle aidant, je m’enfonce aisément en elle, sentant la chaleur de son intérieur, si agréable. Les va-et-vient s’accélérant, ma couche maintenant touche à la fois son sexe et ses fesses ; sa chatte m’inonde à nouveau et provoque un claquement à chaque coup de reins.
— Il en a une grosse queue, mon bébé, il me remplit bien !
Je sors totalement puis rentre vite. Ressors. Rentre fort.
— Oui, vite. Oui, bien profond mon amour…
Dedans. Dehors.
Ma couche crisse, bruisse.
Le froissement sur la vulve de Sophie accroît son plaisir.
— Oui, oui, encore, mon bébé, frotte-toi contre moi. C’est ça, bien fort. Je vais venir, jouir, prise comme une salope !
Je sens la jouissance arriver ; pour elle aussi, car tout en gémissant elle me demande d’accélérer, mordant l’oreiller.
Notre étourdissement est simultané, et nous nous écrasons ensemble de plaisir, exténués et repus. Révélés l’un à l’autre.
Tendrb
Originale histoire où une "dominante" perd sa "virginicouche" grâce à son initiateur "soumis". Bon ce n'est pas vraiment un rapport D/s et plus le caractère entreprenant de bcp de femmes, whatever Tks ! |
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